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Mon père
Je prépare avec Le père Eric Venot Eiffel  le déroulement de la « messe autrement » .

Il .m’a transmis votre réponse  concernant ses interrogations sur le déroulement de ces messes
Je partage votre inquiétude concernant l'évolution vers des liturgies trop libres ou excessivement ritualisées.
Cependant, je crois qu'il est louable de célébrer de manière différente afin que ceux qui sont éloignés des pratiques dominicales puissent se sentir inclus. Cela ne signifie pas nécessairement qu'ils cherchent à former de nouvelles "communautés particulières" ; ils aspirent simplement à exprimer leur foi avec des mots qui leur correspondent.
Certains d'entre eux assistent régulièrement à la messe dominicale.

Ces adaptations ne visent en aucun cas à se détourner des enseignements fondamentaux de notre foi. Au contraire, elles représentent une réponse créative et adaptative aux besoins de notre communauté.

Vous avez exprimé le désir que le Centre spirituel Saint-Pierre soit missionnaire et créatif : je comprends cela comme une opportunité de découvrir ou redécouvrir un espace pour nourrir et exprimer notre foi en Christ.

Le père Eric a l’habitude d’  animer des  célébrations au Centre Saint-Pierre.Il accueille notamment ceux qui rencontrent des difficultés avec la messe traditionnelle  d’où l’idée de célébrer "autrement afin de les réintégrer dans  la communauté de l'Église

Après en avoir parlé avec  sœur Nathalie(1) et le père Geffray (.qui ont tous deux donné leur accord). Il a été décidé de proposer une messe « autrement » une fois par mois   

Et cela a bien fonctionné puisque nous sommes  entre 50 et 80 à chaque célébration.

Par ailleurs  on parle beaucoup de réorganisations paroissiales.
Il est important de ne pas oublier ceux qui se trouvent en dehors des paroisses pour diverses raisons. Pour leur permettre de réintégrer le «bercail", il est essentiel qu'ils soient reconnus et représentés.

Comment s'organiser avec ceux qui ne se reconnaissent pas  dans leur paroisse, ceux qui  sortent de l'institution, ceux qui ont envie d'y croire mais ne se retrouvent  plus dans l'Eglise telle qu'elle est vécue actuellement.:
je propose que vous fassiez  une rubrique spéciale "paroisse hors sol" dans le bulletin du diocèse afin  de rassembler et contacter les « brebis égarées ».

Ce serait dommage qu ‘elles soient  complètement déconnectés des réalités et des contraintes  de la vie de l'Eglise
.
. Bien sincèrement et fraternellement

G.A.

.

(1) la mission de Saint Pierre :coordonner, accompagner et initier des enseignements, de nouvelles activités et/ou évènements pour l'évangélisation et par des chemins créatifs et innovants. par un accueil large et fraternel au tout-venant .

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Merci d’avoir répondu  sur le sujet de la « messe autrement » de façon plus globale…(lettre non publiée)

Je partage avec vous  votre  inquiétude sur l’évolution des liturgies débridées ou   d’un  réel rubricisme   

Mais je pense qu’il est louable de  célébrer autrement  afin que des personnes loin des pratiques dominicales  se retrouvent .

 

Il se trouve que  vous avez  demandé au Centre spirituel st Pierre  d’être missionnaire et créatif : :j’interprète cela comme une ’occasion  de  découvrir où redécouvrir un lieu pour nourrir et exprimer notre  foi dans le Christ.

 

Mon expérience  des célébrations au centre ST PIERRE m’ont fait réfléchir  avec  sœur Nathalie et le père  Eric   sur une manière de célébrer. « autrement »  pour permettre  d’offrir à ceux qui  rencontrent des difficultés avec la messe classique d’être présent dans l’Eglise

 

Ce n’est pas pour autant que ces fidèles vont  créer de nouvelles » communautés particulières » : Ils  cherchent simplement  à exprimer leur foi avec des mots qui leur parlent. Certains d’entre eux vont régulièrement à la messe dominicale.

Ces adaptations ne cherchent en aucun cas à dévier des enseignements fondamentaux de notre foi. Au contraire, elles représentent une réponse créative et adaptative aux besoins de notre communauté.
D’autre part,

Il est beaucoup questions de réorganisations des paroisses, mais il ne faut pas oublier ceux qui sont hors paroisse pour raisons diverses

Pour leur permettre de  réintégrer le « bercail » il faut au minimum qu’ils existent  et soient  représentés »

G.A.

 

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